Annik Reymond – peintures et dessins

Recherches pour un triptyque

29 Octobre 2010 , Rédigé par Annik Publié dans #Recherches

Voici les recherches que j'ai retenues correspondant à l'idée d'un triptyque, évoquant des états intérieurs différents, tout en pouvant fonctionner ensemble: Mes autres recherches pour ce triptyque sont visibles ici (sur Flickr)

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Exposition à l'arcade Chausse-Coq, bientôt

27 Octobre 2010 , Rédigé par Annik Publié dans #En public

J'espère vous voir à l'une de ces occasions: Pour mémoire: ouvert ma-sa 14-19h Vernissage le 4.11 18h30 Dimanche 14.11: poe&mo (Marina Salzmann, textes, voix / Thierry Clerc, guitares) Dimanche 21.11: apéro de fin d'expo Suivez ce lien pour voir le détail...

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Exposition à l'arcade Chausse-Coq du 4 au 21 novembre 2010

17 Octobre 2010 , Rédigé par Annik Publié dans #En public

Je suis en train de préparer la prochaine exposition. Autre lieu, autre installation, beaucoup de dessins en moins (1/3 de longueur de mur en moins, bien que la galerie soit beaucoup plus petite en volume), quelques dessins en plus également. L'expo a...

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Ecrits à l'œuvre #8

12 Octobre 2010 , Rédigé par Annik Publié dans #Ecrits à l'œuvre

Créer. Créer pour quoi, pour qui? Suite. Grande est la tentation de créer pour la galerie, dans tous les sens du terme. Nous y sommes voués en quelque sorte : comment faire entendre notre parole si ce n’est en la confiant aux mains des professionnels,...

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Ecrits à l'œuvre #7

8 Octobre 2010 , Rédigé par Annik Publié dans #Ecrits à l'œuvre

Créer pour qui, pour quoi? Créer pour soi, c'est un monologue. Une manière de parole in petto. Un grommellement, un borborygme. Comme on râle, on bougonne, on fredonne ou on s'emporte. Il n'y a pas de destinataire. C'est un circuit fermé, du cerveau à...

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Ecrits à l'œuvre #6

4 Octobre 2010 , Rédigé par Annik Publié dans #Ecrits à l'œuvre

Je me méfie comme de la peste de l'esthétique: le beau, le caractère, l'écriture, le su, le vu et le connu – bien que j'y succombe lorsque je baisse la garde… Comme un édredon douillet, ils me prémunissent de l'esthesis, du sentir, qui seul me permet...

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